qu'est-ce que vous avez regardé aujourd'hui ?

Hier sur TMC :



Omg d'habitude on se tappe du réchauffé et là un film plus récent !!!

Out of control:



Un agréable divertissement qui ne paye pas de mine d'emblée, mais qui garde une certaine cote de sympathie tout au long du métrage. Cela est dût à plusieurs facteurs, comme la présence de tête connues (Stephen lang, Treat Williams, Luis Guzman et Danny Trejo), le fait que l'on change les rôles malgré un thème classique vieux comme le monde (ce n'est plus le prince charmant qui sauve la dame de ses rêves, mais c'est la femme qui mène son enquête à coup de poing dans les gencives pour retrouver son prince charmant), et l'interprétation de Gina Carano qui arrive d'être à la fois sensible et intraitable selon les situations. Sans compter les passages de fight rondement bien menés (on sens son passif à la MMA) malgré une petite déception pour la scène de la boîte de nuit un peu trop chaotique pour l'apprécier pleinement.
A noter tout de même quelques petits bémols:

Spoiler:

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Enfin le rôle de Danny Trejo (rôle très court par ailleurs): Au début, on nous le montre comme une petite frappe détestable qui se croit tout permis et d'un autre côté

Spoiler:

Ong Bak:



Les combats sont plaisants à regarder, même si cela ne vaut pas l'intensité d'un "Bangkok Adrénaline" ou d'un "Born to the fight"; par contre les cascades sont impressionnantes, notamment la course-poursuite où Tony Jaa évite d'une manière très souple tous les obstacles qui se trouvent sur son chemin.
Au niveau scénario, c'est un classique chez un film Thaïlandais (une relique sacrée pour un village est volée par des gens non respectueux pour les anciennes coutumes), mais reste efficace.
A noter la performance de Petchtai Wongkamlao dans le rôle du sidekick de service qui ajoute sa petite note d'humour pas désagréable du tout.

Autoroute Racer:



Un mélange entre Taxi (en moins vulgaire, même si des références sexuelles existent, mais cela restent softs) et Need for Speed à la sauce allemande.
Le film est très agréable à suivre, même si on peut noter qu'il met du temps à se lancer, afin d'implanter les différents personnages et leurs voitures. On y retrouve de tout: le policier pas doué en infiltration, un livreur de pizza, une mécanicienne, etc...
Même si les voitures ne sont pas de grosses cylindrés (à part quelques unes vers la fin), les courses sont funs et on a le droit à de belles cascades (certaines m'ont même fait penser au film "Cours après-moi Shérif").

Zombie Hunter:



Mélange entre film de série B sympathique et nanar assumé. On y retrouve les poncifs du genre (le héros ténébreux, la bombasse, la femme innocente, le jeune puceau et le gros pervers), mais l'histoire se suit tranquillement sans que l'on ressent le moindre ennuis. Danny Trejo, contrairement à ce que montre la plupart des affiches, n'est pas le héros du film; mais sa prestation en prêtre tout en nous faisant du Machete avec une hache vaut son pesant de cacahuète.
A noter tout de même quelques petits soucis: même si les effets spéciaux pour les monstres mutants ne sont pas terrible (mais ça passe comparé à d'autres films du même acabit et si on n'est pas trop regardant), certains acteurs qui jouent mal (l'ancien qui se fait manger le bide par les zombies, on n'a pas l'impression qu'il souffre énormément) et certains passages tirés par les cheveux (le héros qui ne peut pas mourir, mouais...). Mais c'est surtout ce p***** de filtre bleu pour l'action se déroulant la nuit qui gâche tout, je pense notamment à la confrontation entre Danny Trejo et le mutant: c'est simple, on ne voit rien du tout; et je ne parle pas non plus de ce filtre violet placé ici où là, cela donne envie de vomir.
Mais dans l'ensemble, cela reste un petit divertissement sympathique pour ceux qui ne sont pas trop regardant sur la qualité de certains passages.

Avengers:



Un très bon divertissement. Même si le début est un peu long, le temps de mettre en place les événements et les personnages, le début des hostilités fera le bonheur des fans de Marvel et des films d'actions. Les punchlines sont nombreuses (merci Iron Man et Loki) et certaines scènes sont à mourir de rire (notamment la confrontation entre Hulk et Loki. Je m'attendais presque à ce que Hulk saute à pieds joints sur Loki tellement la ressemblance avec un dessin animé à la Looney Tunes ou à un Tex Avery était flagrante).
J'ai l'impression tout de même, mais cela ne tient qu'à moi, que les personnages de Thor, de La Veuve Noire et d'Œil de Faucon sont un peu en retrait comparé aux personnages de Captain America, d'Iron Man et de Hulk. Sentiment qui disparaîtra lors du visionnage du deuxième volet des Avengers.

Avengers: L'ère d'Ultron:



Le premier volet des Avengers étaient très bien, mais celui-là est encore meilleurs. Les menus défauts que j'avais constaté dans le premier volet ont été corrigé: le début démarre en trombe et le moment de calme est bien situé pour souffler entre deux scènes d'action permettant ainsi de développer la psychologie de certains personnages (notamment Hawkeye et Black Widow). Là où je trouvais que certains personnages étaient un peu retrait dans le premier Avengers, ici ils sont tous mis au même niveau.
Les situations comiques sont toujours aussi présentes (la tronche que fait Thor lorsque Captain America soulève imperceptiblement son marteau, la façon si particulière qu'à Iron Man pour chanter une berceuse à Hulk, le monologue d'Hawkeye lorsque Vif Argent le traite de vieux croulant, etc...), mais laisse place aussi à des moments plus intimes et/ou dramatiques (la famille d'Hawkeye, le couple Banner/Natasha, les jumeaux Maximoff).
Les scènes d'actions, quand à elles, sont plus nombreuses et plus jouissives (et Hulk a toujours le dernier mot lorsqu'il combat le méchant principal).
Bref, un excellent divertissement.

Ballistic:



Vraiment pas terrible. C'est bien beau de mettre des explosions et des effets pyrotechniques à droite et à gauche, mais encore faut-il que le reste suive, mais ce n'est pas le cas: le scénario est sans saveur, si ce n'est moisi; on n'a pas l'impression que les acteurs se sentent impliqués dans le film, on dirait même qu'ils s'emmerdent; et la réalisation est d'une platitude flagrante(les scènes d'action sont d'une mollesse, on ne ressent rien lors des combats et des fusillades). Seul certaines musiques sont sympas, mais mal placés.
Bref, pas grand chose à rattraper pour ce film à mon avis.

Need for speed:



Sympas, mais je m'attendais à mieux: plus de courses, plus de cascades et des voitures de flics plus efficaces (ceux qui ont joués à Need for speed hot pursuit comprendront de quoi je veux parler). Le personnage qu'incarne Michael Keaton est totalement barré mais ne sert pas grand chose au film.

Serenity:



Un bon petit film pas prise de tête; Nathan Fillion est très bon dans son rôle de baroudeur de l'espace un peu désabusé (un peu à la Han Solo). Seul petit bémol: l'héroïne qui décide de se mettre en mode guerrière ultime au moment le plus opportun (alors qu'il devrait y avoir une image subliminale pour l'enclencher, ce qui n'est pas le cas ici).

Total Recall:



Un film qui n'a pas pris une ride, même les effets spéciaux et les maquillages sont excellents. et la musique de Jerry Goldsmith est toujours aussi agréable à l'oreille.

Braquage à l'italienne:



Très bon film aussi; meilleur que la saga des Ocean. Chacun des protagonistes ont leur importance, on a le droit à son lot d'imprévus et de belles course-poursuites.

Jack le chasseur de géants:



Film sympathique qui tient surtout grâce aux rôles secondaires (notamment Ewan McGregor et Ian McShane qui, malgré une coupe improbable pour l'un, et une tenue rutilante pour l'autre, gardent une certaine prestance sans en faire des tonnes). Mais c'est surtout la dernière demi-heure la plus intéressant entre la défense du château très bien réalisé qui nous tient en haleine, et l'idée que les éléments d'un conte peut varier au fil du temps lors d'une transmission orale (le cheval devient une vache, l'oncle devient la mère, etc...).
Un bon divertissement en somme.

Yamakasi: Les fils du vent:



Bof, pas terrible. Le scénario est complétement à la ramasse (l'excuse bidon pour aller à Bangkok, le côté spirituel qui n'a pas sa place dans ce film), le jeu des acteurs n'est vraiment pas terrible (seul les acteurs asiatiques relèvent un peu la sauce) et certaines scènes font plus remplissage qu'autre chose (pourquoi l'un des Yamakasi apprend la boxe Thaï si ce n'est pas pour l'utiliser durant le combat final).
Seuls les scènes de cascades et de combats sauvent un peu l'ensemble, mais le réglage caméra ne rend pas justice à ces athlètes de hautes voltiges.

Shangaï Express:



Réunir la grande majorité des stars de kung-fu dans un seul film était un pari risqué, mais Sammo Hung a remporté le défi haut la main. Même si le scénario est minimaliste, certains effets spéciaux un peu raté (la cabane en flamme, la boule de neige géante) et quelques passages humoristiques un peu raté (l'urine sur la mitraillette pour la refroidir); tout l'ensemble est une réussite comme les cascades risqués (Yuen Biao sautant de la maison en flamme d'un salto avant) et les combats bien rythmés (notamment le final dantesque). En visionnant le métrage, on ne peut s'empêcher d'énumérer tous les acteurs qu'on a pu apercevoir dans tel ou tel film, comme Eric Tsang, Richard Ng (toujours aussi impayable dans son registre humoristique), j'en passe et des meilleurs...
Les acteurs occidentaux ne sont pas en reste non plus, et même si Richard Norton et Cynthia Rothrock sont cantonnés à des rôles mineurs, ils auront droit à de beaux combats. D'ailleurs, Cynthia Rothrock aura droit d'affronter Sammo Hung où ce dernier valorisera ces talents de combattantes (avec un petit passage humoristique du pouce et de l'index). Quand à Richard Norton, il mettra à mal un samouraï et déjouant certaines subtilités (le coup du sable dans les yeux par exemple); par contre, sa fin sera moins glorieuse    , tandis que Cynthia Rothrock sera celle qui s'en sortira le mieux dans le groupe des bandits.

Piège dans l'espace:



Je m'attendais à un petit nanar, et après visionnage je le mets plus dans la catégorie série B sympathique. Alors, il est vrai que certains passages peuvent paraître nanars (les costumes ridicules des pirates de l'espace, le côté cheapos des effets spéciaux durant la course-poursuite dans l'espace et Ken Olandt qui cabotine un tantinet dans le rôle du méchant), mais cela joue plus sur le côté film à petit budget. De plus, certains passages sont assez drôles mais cela est intentionnel de la part du réalisateur, comme le passage où Olivier Gruner nous fait une démonstration de danseuse étoile pour montrer l'ennui du personnage pendant trois longs mois tout seul pendant que l'équipage est en train de dormir.
D'ailleurs, j'ai beaucoup apprécié les petites références placés ici ou là aux grands films SF de l'époque comme Robocop (les publicités, le journal télévisé manipulé), Total Recall (le cloisonnement après une dépressurisation) et Alien (la salle d'hibernation).
Une bonne surprise pour moi.

Les aventuriers du bout du monde:



Je m'attendais à une sorte d'Indiana Jones avec Tom Selleck (qui aurait été aussi bon qu'Harrison Ford à mon avis), mais j'ai été un peu déçu. Heureusement qu'il y a Tom Selleck dans le film, parce que le film en lui-même n'est pas vraiment passionnant. Regardable, certes, mais il manque un je-ne-sais-quoi pour remonter un peu la sauce.

Signé Lassiter:



Bien meilleur que le film précédent. Tom Selleck semble plus à l'aise dans ce rôle de gentleman cambrioleur, et on retrouve avec plaisir quelques têtes connues comme Bob Hoskins, Ed Lauter et Joe Regalbuto; mais celle qui est au-dessus du panier, c'est bien Lauren Hutton en femme fatale.

Wudang Masters:



Sympas, mais je trouve qu'ils abusent un peu au niveau des câbles; mais la scène de combats où Vincent Zhao et Mini Yang affronte des sbires comme si ils dansaient est agréable à l’œil. Par contre, vers la fin, cela devient cheap avec cet apport du fantastique incongru et ses effets spéciaux un peu raté. Un conseil: choisissez la VO, car la VF n'est vraiment pas terrible.

La femme de mon prof:



Un teen-movie fort appréciable avec une Tia Carrere toujours aussi    (mais Alexandra Lee n'est pas mal non plus    ). L'humour fait mouche avec son lot de comique de situation sans tomber dans le scabreux; et Christopher Mc Donald est excellent dans son rôle de mari cocu détestable.

Ghost in the Shell:



Un pur chef-d’œuvre!  
tout est parfait dans ce film: la direction artistique, la musique, les dialogues, les séquences de contemplation, même le doublage français est bien choisi (d'ailleurs Daniel Beretta reprendra le doublage de Batou pour la série d'animation Ghost in the Shell: Stand Alone Complex). Aucun plan n'est inutile, même les nombreuses fois où l'on verra un avion dans le ciel, symbole de l’élévation et de l'évasion, et je suis persuadé que les nombreuses fois où l'on verra le chien (à la télévision, sur le photo et sur le pont) a une signification (l'instinct? le seul être 100% naturel dans un monde cybernétique?).
Même les dialogues ont une importance, que ce soit entre Motoko et Togusa (où on sent que le Major, malgré sa nonchalance, envie l'humanité de Togusa - thème que l'on retrouvera dans Stand Alone Complex), le semi-monologue du Major avec Batou sur le bateau (dans un monde où l'être humain peut être augmenté artificiellement, peut-il encore évoluer?), ou bien le dialogue du Puppet Master (un être entièrement cybernétique, une entité artificielle peut-il être une être vivant, un être conscient comme l'être humain? En parallèle, on peut voir une similitude entre l'être humain qui veut devenir cybernétique de peur de mourir et de l'autre l'être cybernétique qui veut devenir humain pour pouvoir mourir).
D'autres thèmes ressortent de ce film comme: Sommes-nous unique? (Motoko qui voit son double dans les restaurant, ou le passage où elle remonte de l'eau et où elle voit son reflet), la religion (l'archange avant l'intervention de la Section 6, la renaissance à travers le corps d'enfant que lui fourni Batou), etc...
Il y a encore beaucoup de choses à dire, notamment les références à Philip K. Dick et à sa nouvelle "Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques?", et tout à chacun aura une interprétation différente sur ce film d'animation.

American Samourai:



Un film d'arène de série B qui aurait pût éviter de tomber dans le nanar si il n'y avait pas eut quelques éléments bancals, comme un scénario un peu simpliste, un doublage VF manquant de conviction, un Mark Dacascos qui en fait un peu trop (à chaque fois qu'il apparait, il a les yeux exorbités) et la voix off du maître un peu trop intrusive avec ces conseils sur la voie du samouraï (on a a envie des fois qu'il se taise).
Heureusement, tout cela est contrebalancé par des scènes de combat fort sympathique avec son lot de mutilation et d'égorgement (même si cela manque un peu d'hémoglobine par certains moments). Malheureusement, le dernier combat m'a laissé sur ma faim: là où on voyait les deux combattants sur un même plan lors des autres combats, l'ultime confrontation montre les deux combattants sur deux plans différents ce qui donne l'impression que les deux interprètes n'étaient pas ensemble lors de la passe d'armes, ce qui gâche tous le sel du film. Dommage.

Superman contre Brainiac:



Au début, le style graphique me faisait un peu peur sur la qualité de l'animation, mais il n'en est rien. L'action est fluide, les doublages VF sont très bons et l'anime se permet quelques notes d'humour bien placés.

Jack Reacher:



Un film agréable à regarder, même si le côté parfait du héros principal peut être un tantinet énervant (bonne mémoire, analyse de déduction digne de Sherlock Holmes, combattant hors pair et charisme qui met en pâmoison toutes les femmes qu'il rencontre). Dommage aussi que le réalisateur nous donne déjà l'identité du tueur au début du film, il aurait été plus judicieux de faire travailler l'imagination du spectateur sur le doute de l'innocence/la culpabilité du suspect; heureusement, cela est contrebalancé par l'identité du traître.

Empire State:



Le thème du film est sympa, mais malheureusement la réalisation est un peu plate et je trouve que Dwayne Johnson surjoue parfois. Heureusement, les autres acteurs jouent plus justes, notamment Michael Angarano dans le rôle d'Eddie, véritable abruti de service qui mérite des baffes à chacune de ses apparitions.